Aix-en-Provence est une ville pour les amateurs de culture. Un endroit pour se promener dans les rues courbes, pâtisserie feuilletée à la main, en parcourant les boutiques colorées, en faisant du shopping sur les marchés animés ou en cherchant de l’ombre sous un ancien platane. L’art et le divertissement occupent une place centrale et les opportunités de profiter de tous les aspects du patrimoine provençal dans les murs de la ville sont nombreuses.
Marseille et Aix-en-Provence font maintenant partie de la même région métropolitaine mais en tant que membres de la famille, ils ne pourraient pas être plus différents; tandis que Marseille est le parvenu impétueux, fougueux et amusant, Aix-en-Provence est sans aucun doute le cousin riche, cultivé et instruit. Et pourtant, il reste distinct de son voisin du Vaucluse, Avignon.
S’imprégner de la vie de village
L’une des premières choses à voir à Aix-en-Provence est la mairie, c’est l’une des plus belles places et le pouls battant de la vieille ville. Prenez place à l’une des tables de bar à l’extérieur, avec le bonus parfumé supplémentaire de fleurs le jour du marché, en regardant les mariages avoir lieu et les touristes errent.
Voici les secrets de ce lieu :
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Le clocher est magnifique et historique, les chars américains sont passés en dessous quand ils ont libéré Aix-en-Provence à la fin de la Seconde Guerre mondiale et c’est un endroit idéal pour faire un arrêt au stand, laissant les enfants courir autour de la fontaine ou regarder la Livres en français dans la petite mais sympathique bibliothèque municipale.
Le cours de Mirabeau
De nombreuses villes françaises ont un célèbre boulevard bordé d’arbres et le Cours Mirabeau est celui qui définit Aix-en-Provence. Une promenade de la statue du Roi Réné à une extrémité au rond-point de la Rotonde à l’autre, met en valeur l’histoire de la ville.
C’est sous le règne du roi René (qui régna de 1409 à 1480) et de son épouse la reine Jeanne que la ville développa son ambiance artistique et indépendante. Si indépendante, qu’après la mort du roi, la ville a refusé de suivre le gouvernement français pendant près de 200 ans.